FUSION : NI POUR NI CONTRE BIEN AU CONTRAIRE

Après le match Vedene-le pontet vs Courthezon-Jonquieres ( 4 villes, 2 clubs ) l'équipe de Gfoot a voulu expliquer aux sceptiques pourquoi certaines fusions sont inévitables et encourageantes au travers du cas  SCJC 

Le club de Courthezon a une histoire et une mémoire ...

Il y a quelques années une bande de copains Benoit Storck, Bayo David, Gilles Fournel, Metay Jerome et d'autres...) décidaient de reprendre la gestion du club pour réussir l'impossible et s'installer durablement dans l'élite régional séniors pour ce club né en 1931.

La gestion financiére, sportive et rigoureuse de cette bande de copains a permis au Scc d'etre performant sur le terrain avec une adhésion incroyable de tous les habitants de ce village amoureux de foot.

Le club est aujourd'hui reconnu de Monaco à Gap en passant par Marseille.

Pourquoi la fusion ?

Pendant 12 ans, sous la houlette de Gilles Fournel, Cédric Luongo, Kader Nasri ont réussi l'exploit avec des moyens très limités d'atteindre des objectifs inespérés.

En effet Courthézon se situe dans un bassin de population faible en nombre d'habitants pour pouvoir rivaliser avec les grandes villes comme Marseille, Nice et Cannes. Par conséquent la bande de Gilles Fournel, Yves Morche et Laurent Belamy ont eu l'intelligence de fusionner Courthézon et Jonquières afin de mutualiser les moyens humains, les infrastructures et les finances pour permettre de répondre aux nouvelles réformes très exigeantes de la FFF (formation, label, etc...).

Les nouvelles exigences de la fédération française de football obligent les clubs à se structurer par année de naissance.

Plutôt que de subir et mourir cette nouvelle équipe à préférer anticiper et faire preuve d'intelligence de situations en travaillant sur les forces de chaque club pour pouvoir envisager l'avenir avec sérénité.

Une volonté politique des 2 maires 

Courthézon et Jonquières ont la chance d'avoir des maires intelligents qui savent que le football est un enjeu de société, de cohésion sociale et qui permet  de dynamiser un territoire en développant sa notoriété.

À travers de cette petite étude de cas du SCJC nous voulions déconstruire les idées reçues sur les fusions.

Pour le moment nous constatons que Pernes-St didier, Vedene-Le Pontet ont réussi leur pari et nous souhaitons la même réussite au SCJC.